Est-ce que le directeur de la Star Academy est le fils de Jean-Jacques Goldman ? (Et autres mystères de la vie)
Oui, mes chers amis, le directeur de la Star Academy, Michael Goldman, est bel et bien le fils du légendaire Jean-Jacques Goldman.
On dirait un de ces petits secrets bien gardés que les tabloïds adorent déterrer, mais non, c’est une information publique, accessible à tous ceux qui ont Google à portée de main (et qui ne sont pas coincés dans une grotte sans connexion internet depuis les années 90).
Alors, pourquoi tout le monde s’affole ? Pourquoi ce nom, Goldman, résonne-t-il comme une mélodie nostalgique dans nos oreilles ?
Parce que Jean-Jacques Goldman, c’est un peu comme le Père Noël, le lapin de Pâques et le dentiste réunis en une seule personne (mais sans les bonbons). C’est un artiste qui a bercé notre enfance, qui a marqué nos amours adolescentes, qui a accompagné nos déceptions amoureuses et qui a même ponctué nos soirées karaoké (avec plus ou moins de réussite, on ne juge pas).
Mais revenons à notre Michael. Cet homme est donc le fils de la légende, et il a décidé de s’attaquer à la Star Academy, l’émission qui a propulsé des chanteurs comme Grégory Lemarchal, Jenifer et Elodie Frégé vers la gloire (et parfois vers la poussière, mais ça, c’est une autre histoire).
Alors, qu’est-ce que ça nous raconte ? Que le talent, on dirait, ça se transmet de génération en génération. Comme les verrues, mais en mieux.
Et pour ceux qui se posent la question, non, Michael n’a pas hérité de la capacité de Jean-Jacques à écrire des chansons à succès qui donnent envie de pleurer. Il est plutôt un entrepreneur et un producteur de musique (à priori, le genre de personne qui préfère les chiffres aux paroles).
Mais bon, on ne va pas se mentir, c’est quand même un peu comme un remake de « La Chanson de ma Mère » avec un twist moderne. Sauf que cette fois, on parle de la Star Academy et non d’un chanteur qui découvre sa vraie nature.
Alors, on peut dire que Michael Goldman est un peu comme un héritier. Un héritier du talent, du succès, et de la pression de porter un nom qui se décline en lettres dorées dans l’histoire de la musique française.
Mais est-ce que ça le rend meilleur directeur que quelqu’un qui n’a aucun lien de parenté avec Jean-Jacques Goldman ? Difficile à dire. Le jury est encore en délibération, et on ne sait pas s’il y aura des larmes, du jazz ou des clashs mémorables à la clé.
En attendant, on peut se consoler en écoutant les classiques de Jean-Jacques, en chantant à tue-tête « Je te donne » ou « Envole-moi », et en se demandant si Michael est capable de faire aussi bien. Ou, au moins, aussi mal.
Parce que, soyons honnêtes, c’est la magie de la Star Academy, non ? Un mélange de talent, de compétition, de larmes, de rires, de rêves et de moments de grâce (ou de catastrophe, selon le point de vue).
Et le fait que le directeur soit le fils d’une légende ne fait qu’ajouter une pincée de sel à ce cocktail explosif. Un sel qui, on l’espère, ne fera pas exploser la casserole de la Star Academy.
Alors, à vos marques, prêts, chantez ! Ou, au moins, regardez !