Où a été tournée la série La Servante écarlate ?
Ah, « La Servante écarlate », cette série qui nous plonge dans un futur dystopique où les femmes sont réduites à l’état de simples machines à faire des bébés. On se demande bien où les scénaristes ont pu trouver l’inspiration pour un tel univers… Mais avant de plonger dans les coulisses de Gilead, répondons à la question que vous vous posez tous : où a été tournée cette série qui nous donne envie de brûler notre soutien-gorge ?
Eh bien, mes chers amateurs de dystopie, sachez que la première saison de « La Servante écarlate » a été tournée dans la belle province de l’Ontario, au Canada. Oui, vous avez bien entendu, la terre de l’érable à sucre, des poutine et des Canadiens bien gentils (généralement). Et devinez quoi ? Margaret Atwood, l’auteure du roman du même nom, vit justement dans cette région. C’est comme si l’univers conspirait pour que la série soit tournée dans un endroit qui inspire à la fois la beauté et la froideur de Gilead (oui, je sais, c’est un peu ironique).
C’est donc dans la ville de Cambridge que les équipes de tournage ont planté leurs caméras, transformant cette ville paisible en une Gilead oppressante (on dirait que les habitants de Cambridge ont dû s’habituer à voir des femmes en robe rouge dans les rues, un peu comme s’il y avait un défilé de mode permanent). Mais Cambridge n’était pas le seul décor utilisé, la production s’est également aventurée dans les villes de Toronto et Hamilton, transformant ces villes en des lieux lugubres et oppressants. On se demande bien ce que les habitants ont pensé de voir des femmes en rouge courir dans les rues, pourchassées par des gardes en uniforme… Un peu comme un film d’horreur en live, n’est-ce pas ?
Mais trêve de plaisanteries, « La Servante écarlate » est une série complexe qui soulève des questions importantes sur la société, le pouvoir et la liberté. Et si les lieux de tournage ont contribué à donner vie à l’univers de Gilead, c’est aussi le talent des acteurs et l’écriture de la série qui ont fait de « La Servante écarlate » un succès mondial. Alors, la prochaine fois que vous regarderez un épisode de la série, pensez à tous ces endroits en Ontario qui ont été transformés en Gilead et laissez-vous transporter par l’histoire de June et des autres servantes.
Gilead : Où se cache-t-elle ?
Maintenant, vous vous demandez peut-être où se trouve Gilead dans le monde réel. Eh bien, la réponse est un peu plus complexe. Dans le roman et la série, Gilead est une dictature théocratique qui a pris le contrôle des États-Unis. Alors, on pourrait dire que Gilead se trouve à l’emplacement des États-Unis actuels, mais c’est un peu simpliste, n’est-ce pas ?
Margaret Atwood, la géniale auteure de « La Servante écarlate », a créé un monde fictif qui est une métaphore des dangers de l’extrémisme religieux et de la suppression des droits des femmes. Gilead n’est pas un lieu précis, c’est une idée, une menace qui pourrait surgir n’importe où dans le monde, un peu comme un virus qui se propage à travers les frontières. On pourrait dire que Gilead est un peu comme le coronavirus (mais en plus effrayant), un danger qui se cache dans l’ombre, attendant son heure pour se propager.
L’inspiration de la Servante écarlate : Un peu de réalité dans la fiction
Alors que la série « La Servante écarlate » est un récit fictif, elle s’inspire de réalités historiques et sociales. Pour créer Gilead, Margaret Atwood s’est inspirée de mouvements religieux extrémistes, de régimes totalitaires et de la suppression des droits des femmes. Le roman et la série s’inspirent notamment du groupe « People of Praise », une communauté religieuse aux dérives sectaires, qui a été accusée de contrôler et de manipuler ses membres.
On peut dire que la série « La Servante écarlate » est un avertissement, un appel à la vigilance face aux dangers de l’extrémisme religieux et de la suppression des droits humains. En utilisant des éléments de réalité, la série nous rappelle que la dystopie n’est pas un concept abstrait, mais une menace bien réelle qui pourrait un jour se concrétiser. Alors, la prochaine fois que vous regarderez un épisode de « La Servante écarlate », pensez à ces réalités historiques et sociales qui ont inspiré la série, et soyez vigilants, car la dystopie est peut-être plus proche que vous ne le pensez.
Conclusion
En conclusion, « La Servante écarlate » est une série qui nous plonge dans un univers sombre et oppressant. Les lieux de tournage en Ontario ont contribué à donner vie à Gilead, mais c’est l’histoire, les personnages et les thèmes forts qui font de la série un succès mondial. La série nous rappelle que la dystopie n’est pas un concept abstrait, mais une menace bien réelle, et que la lutte pour la liberté et l’égalité est une bataille constante.
Alors, la prochaine fois que vous regarderez un épisode de « La Servante écarlate », pensez à tous ces éléments qui ont contribué à faire de cette série un chef-d’œuvre de la dystopie, et rappelez-vous que la liberté est un combat quotidien, un combat qui vaut la peine d’être mené.