Pourquoi Bourvil est enterré à Montainville ?
Alors que la plupart d’entre nous se demandent comment faire disparaître les taches de vin rouge sur un tapis blanc, certains se posent des questions bien plus existentielles : pourquoi Bourvil est-il enterré à Montainville ? C’est une question qui hante les nuits des fans de l’acteur, et à laquelle nous allons enfin répondre, avec la même précision que Bourvil lorsqu’il tentait d’attraper un lapin dans « Le Dîner de Cons » (oui, on sait, pas le meilleur film de Bourvil, mais on s’égare…).
La réponse est simple et logique, comme un bon plat de frites-steak-frites-sauce : Bourvil est enterré à Montainville parce que c’est là qu’il avait sa maison de campagne. Oui, l’acteur adorait la vie à la campagne, le calme, les oiseaux qui chantent (sauf quand ils picoraient ses tomates). Montainville était son havre de paix, son refuge, son… sa maison de campagne, quoi.
Imaginez un instant ce tableau idyllique : Bourvil, en chemise à carreaux, taillant les haies avec une énergie débordante, tout en sifflant un air joyeux. Il s’occupait de son jardin comme un enfant chéri, tondant la pelouse avec une précision chirurgicale, réparant le toit avec l’aisance d’un bricoleur du dimanche. Il était un homme à la fois simple et passionné, un peu comme un croisement entre Bob l’éponge et le Jardinier de la Lune, et Montainville était son jardin secret.
Mais pourquoi Montainville ? Pourquoi pas une petite ville charmante dans les Alpes, ou un chalet coquet dans les Pyrénées ? Eh bien, Montainville était pratique pour Bourvil, qui se rendait souvent à Paris pour le travail. Il pouvait ainsi concilier la vie à la campagne et le succès sur scène et à l’écran. Le comédien avait un talent certain pour jongler entre ses deux mondes, tout comme un clown jonglant avec des oranges et des bâtons de bois.
Alors, la prochaine fois que vous vous retrouvez dans le cimetière de Montainville, n’oubliez pas que Bourvil repose là, paisiblement, entouré par la nature qu’il chérissait. On peut imaginer qu’il est en train de tailler les haies dans le ciel, en murmurant « Aaaaaah, la belle vie à la campagne ! »
Un peu de drame pour rehausser l’ambiance :
Mais l’histoire de Bourvil et de Montainville n’est pas que joie et bonheur. Il y a aussi une touche de tristesse, un soupçon de mélancolie, un soupçon de… drames familiaux.
Jeanne Lefrique, l’épouse de Bourvil, est décédée en 1985 dans un accident de voiture. Elle se rendait de Paris à Montainville, sur la tombe de son époux, pour lui rendre hommage. C’est comme si le destin avait voulu que leur amour se termine sur cette route qui les reliait à leur havre de paix.
Aujourd’hui, la maison de Bourvil est toujours debout, mais elle appartient à son fils Philippe. On peut imaginer que Philippe garde précieusement les souvenirs de son père dans cette demeure, comme un trésor précieux. On peut aussi imaginer qu’il y revient de temps en temps pour se ressourcer, pour retrouver l’esprit de son père, pour se dire « papa, tu me manques… ».
Un petit détour par la maladie de Bourvil :
On ne peut pas parler de Bourvil sans évoquer sa mort, qui a plongé le public dans la tristesse. Il est mort d’un cancer en 1970, à l’âge de 53 ans. La maladie l’a emporté rapidement, comme un éclair dans un ciel bleu.
Mais avant de nous attrister, rappelons-nous que Bourvil était un homme de caractère, un homme qui a affronté la maladie avec courage et dignité. Il a continué à travailler jusqu’au bout, comme un véritable professionnel. Il a même réussi à faire rire les gens, même dans les moments les plus difficiles.
Et c’est peut-être ça, le véritable héritage de Bourvil : sa joie de vivre, son énergie positive, sa capacité à faire rire les gens, même dans les moments les plus sombres.
Un petit clin d’oeil à la vie après la mort :
On ne sait pas si Bourvil est heureux de reposer à Montainville, mais on peut être certain qu’il n’est pas seul. Des fans de tous âges viennent se recueillir sur sa tombe, pour lui rendre hommage, pour lui dire « merci ».
On peut imaginer que Bourvil est heureux de les voir, de savoir qu’il n’est pas oublié. On peut imaginer qu’il leur sourit du ciel, en murmurant « Aaaaaah, la belle vie, même après la mort ! ».
Et vous, que pensez-vous de l’histoire de Bourvil et de Montainville ? N’hésitez pas à partager vos pensées dans les commentaires ci-dessous.