Pourquoi Patrick Bruel a changé de nom ? Un mystère aussi profond que l’océan
Patrick Bruel, le crooner français à la voix de velours, a toujours été un personnage fascinant. Ses chansons nous ont bercés, ses films nous ont émus, et son charisme… eh bien, il n’a pas besoin d’explication. Mais il y a un mystère qui entoure le nom de cet artiste : pourquoi a-t-il choisi « Bruel » ? Pourquoi ne pas avoir gardé son nom de naissance, Benguigui ?
La réponse, mes amis, est plus complexe qu’un puzzle de 10 000 pièces. C’est un mélange de hasard, de choix impulsif et, soyons honnêtes, d’un soupçon de marketing.
Un nom trouvé au hasard ?
L’histoire raconte que le jeune Patrick, alors âgé de cinq ans, a été fasciné par Jacques Brel, un artiste dont la profondeur et l’intensité le captivaient. C’est là que l’idée de « Bruel » a germé dans son esprit. Mais attention, pas de lien profond, pas de longue réflexion, juste un petit « clic » de dernière minute.
C’est comme si vous cherchiez un nom pour votre chat et que, en regardant par la fenêtre, vous voyez un moineau. Vous dites : « Ah, je vais l’appeler Moineau ! » Et voilà, c’est décidé. C’est ainsi que Patrick Benguigui est devenu « Bruel », un nom qui, par un heureux hasard, sonnait bien et se rapportait à une idole.
Le pouvoir du nom de famille : un conte de deux pères
Maintenant, parlons un peu de son père, Pierre Benguigui, un personnage qui semble avoir eu son propre combat avec le nom de famille. Ce monsieur, un homme de conviction, a toujours été un fervent défenseur de ses origines. On raconte qu’il n’était pas très emballé par le choix de son fils, considérant « Benguigui » comme un nom chargé d’histoire et d’identité.
On peut imaginer les discussions animées autour de la table familiale. Papa Benguigui, le patriarche, brandissant les traditions comme une arme, et Patrick, le rebelle, défendant son choix impulsif. C’est un scénario classique : le père qui veut transmettre son héritage, et le fils qui veut se forger sa propre identité.
Bruel, un nom qui sonne bien
Mais il y a une autre vérité que l’on ne peut pas ignorer : « Bruel » sonne bien. C’est un nom court, percutant, facile à retenir. Imaginez un instant Patrick Benguigui chantant « Casser la voix ». Non, ça ne marche pas. « Bruel » donne à l’artiste une aura de mystère, de sophistication. C’est un nom qui a du panache, qui colle parfaitement à l’image de l’artiste.
Un choix pragmatique ?
Et puis, il y a la question du marketing. Dans les années 70, « Benguigui » n’était pas un nom qui apportait la reconnaissance immédiate. « Bruel », avec ses connotations artistiques, sonnait plus « français », plus « commercial » si vous voulez. C’est une hypothèse qui ne manque pas de logique, même si elle est un peu cynique.
Imaginez Patrick Benguigui, le jeune acteur débutant, se présentant à un casting. « Bonjour, je m’appelle Patrick Benguigui… » Puis, imaginez Patrick Bruel, l’acteur prometteur, avec un nom qui se déguste comme un bon vin. C’est une question de perception, de marketing, de jeu de scène.
Un nom, un destin ?
Finalement, « Bruel » est devenu plus qu’un nom, c’est une identité. C’est une marque, un symbole, un synonyme de talent et de succès. Patrick Bruel a su construire une carrière solide, une image forte, et « Bruel » est devenu partie intégrante de son identité.
Alors, pourquoi Patrick Bruel a-t-il changé de nom ? La réponse est complexe, un mélange de hasard, de choix personnel et de pragmatisme. Mais une chose est certaine : « Bruel » est devenu un nom qui résonne dans l’histoire de la musique et du cinéma français, et c’est une histoire qui ne manquera pas de fasciner les générations futures.