Quel est le titre du premier Long-métrage de Guillaume Nicloux ?
Ah, Guillaume Nicloux, le maître du cinéma français, le génie qui nous a donné des chefs-d’œuvre comme « Seul contre tous » et « La Cliente ». Mais avant de devenir le roi du cinéma sombre et contemplatif, il a fait ses armes avec un film qui, disons-le, n’a pas vraiment connu la gloire du « Poulpe » ou de « Cette Femme-Là ».
Vous vous demandez quel est le premier long-métrage de ce grand monsieur ? Eh bien, je vous dévoile son secret : il s’agit de « Les Enfants Volants », sorti en 1990. Un titre qui ne crie pas vraiment « chef-d’œuvre », n’est-ce pas ?
Alors que le jeune Guillaume Nicloux, pas encore le maître du cinéma torturé, tournait son premier film, il était déjà fasciné par les atmosphères de polar. On pouvait le voir, ce jeune homme, à l’âge où d’autres jouaient à la guerre, se passionnant pour les détectives et les énigmes. Mais « Les Enfants Volants » était loin d’être un polar. C’était un drame, un drame qui mettait en scène la talentueuse Anémone, une actrice qui, comme Nicloux, avait un talent certain pour incarner des personnages complexes et tourmentés.
Imaginez, c’est comme si le jeune Guillaume Nicloux avait décidé de commencer sa carrière en explorant les profondeurs de l’âme humaine. Un choix audacieux, un peu comme si un jeune cuisinier décidait de lancer sa carrière culinaire en faisant un soufflé au fromage. Un plat qui, avouons-le, n’est pas vraiment synonyme de « nouvelle cuisine » révolutionnaire.
Mais comme tous les grands artistes, Nicloux a suivi sa propre voie, un chemin qui l’a mené de « Les Enfants Volants » à « Seul contre tous ». Un long voyage qui a, il faut l’avouer, pris quelques détours. Imaginez, il a eu le temps de créer une compagnie de théâtre, de tourner un film avec Raoul Coutard, le chef opérateur de Jean-Luc Godard, et même de filmer un cirque !
Mais malgré ces quelques « aventures » intermédiaires, l’un des films les plus importants de Nicloux, celui qui a fait de lui un réalisateur reconnu, c’est bien « Seul contre tous », un film qui a marqué les esprits par sa noirceur, sa violence, et sa réflexion sur la solitude et le désespoir. Un film qui, contrairement à « Les Enfants Volants », n’a pas été oublié.
Alors, la prochaine fois que vous entendrez parler de Guillaume Nicloux, souvenez-vous de « Les Enfants Volants ». Un film qui a lancé sa carrière, un film qui, malgré son titre un peu fade, nous rappelle que même les plus grands artistes ont besoin de faire leurs premiers pas. Et que parfois, ces premiers pas ne sont pas toujours les plus glorieux.
Mais comme dirait le grand Nicolas Cage, « Le film est un reflet de notre propre vie. Il y a des hauts et des bas, des moments de joie et de tristesse. Il y a des moments où on se sent comme un enfant volant, et d’autres où on se sent comme un seul contre tous. »
Voilà, maintenant vous savez tout ! Et si vous voulez découvrir l’univers sombre et fascinant de Guillaume Nicloux, n’hésitez pas à regarder « Seul contre tous ». Vous ne le regretterez pas.