Quelle est la religion d’Élisabeth Badinter ? Un mystère enveloppé dans une énigme, saupoudré de poussière d’étoiles…
Ah, Élisabeth Badinter, la philosophe qui a osé remettre en question les fondements du féminisme, qui a défié les religions et les dogmes, qui a fait trembler les piliers de la société avec ses idées audacieuses… Et sa religion ? Un sujet aussi brûlant qu’une crêpe enflammée sur une poêle en fonte !
Laissez-moi vous raconter l’histoire de sa religion, mes amis, une histoire qui ressemble à une partie de Cluedo où les indices se cachent dans les recoins les plus sombres de son passé…
On sait que la famille Badinter est issue d’un mélange culturel explosif. Son grand-père, Marcel Bleustein-Blanchet, était d’origine juive russe. Il a fondé, avec son frère Georges, la célèbre agence de publicité Publicis en 1926. Une success story qui n’a rien à envier aux contes de fées, mais qui a aussi semé quelques graines de mystère sur la religion de la famille.
Sa mère, Sophie Vaillant, issue de la bourgeoisie catholique, a fait un choix audacieux en se convertissant au judaïsme pour épouser le père d’Élisabeth. Un acte de foi qui témoigne de l’amour et de l’engagement… ou d’une stratégie matrimoniale astucieuse, qui sait ?
Alors, Élisabeth, fille de cette fusion explosive entre le judaïsme et le catholicisme, est-elle juive ? Catholique ? Ou a-t-elle embrassé une autre voie spirituelle, celle de la laïcité ?
Le mystère persiste…
Élisabeth Badinter, la philosophe rebelle, la défenseure acharnée de la laïcité, a toujours refusé de se plier aux étiquettes religieuses. Elle s’est exprimée à maintes reprises sur la laïcité, la considérant comme un rempart contre l’intolérance et le fanatisme religieux. Elle a même fustigé les religions, les qualifiant de sources de conflits et de divisions, et défendant l’idée d’un féminisme universaliste, loin de tout différentialisme.
Alors, quel est son secret ?
Est-elle une athée convaincue ? Une spiritualiste cachée ? Une médium qui communique avec les esprits ? Ou a-t-elle simplement choisi de vivre sa vie sans se soucier des dogmes et des religions ?
Comme un bon roman policier, l’énigme de la religion d’Élisabeth Badinter reste irrésolue. Mais une chose est certaine, elle a choisi de vivre sa vie en tant que philosophe libre, libre de ses opinions, libre de son choix, libre de sa religion… ou plutôt, libre de l’absence de religion !
Ce n’est pas tant la religion d’Élisabeth Badinter qui est fascinante, mais plutôt la façon dont elle a construit sa vie, ses idées, ses engagements, loin des pressions et des influences religieuses.
Elle a choisi de s’engager dans une quête de vérité, de justice et d’égalité, sans se laisser dicter sa conduite par les dogmes et les préceptes religieux. Elle a choisi de s’engager dans le combat pour la laïcité, pour la liberté individuelle, pour l’émancipation des femmes, sans se soucier des tabous et des interdits religieux.
Alors, quelle est la religion d’Élisabeth Badinter ?
La réponse est simple : la religion de la liberté, de l’esprit critique, de la raison et de l’engagement.
Et c’est peut-être là le plus grand mystère de tous…