Quelle langue parle Robert de Niro ? Une énigme plus complexe que le scénario d’un film de Scorsese
Ah, Robert De Niro, l’acteur qui incarne la coolitude américaine, le regard perçant, la mâchoire carrée… On le voit dans des films comme « Taxi Driver », « Raging Bull », « Le Parrain II » et bien d’autres, et on se demande : cet homme a-t-il vraiment besoin de parler autre chose que l’anglais ?
Eh bien, mes chers lecteurs, la réponse est plus complexe que vous ne le pensez. Vous êtes prêts pour un voyage linguistique qui vous fera tourner la tête comme un personnage de Scorsese ? Attachez vos ceintures, on décolle !
L’italien, un héritage et une passion (mais pas une langue maternelle)
Robert De Niro, il est vrai, a un nom qui sonne italien et une allure qui pourrait vous évoquer les ruelles de Rome, ou les bars à espresso de Naples. Il est d’ailleurs né à New York, berceau de la culture italo-américaine. Mais attention, il ne faut pas confondre l’apparence avec la langue maternelle !
Pour le rôle de jeune Vito Corleone dans « Le Parrain II », il a appris le sicilien, et on peut dire qu’il l’a fait avec brio, lui qui a d’ailleurs remporté un Oscar pour ce rôle. C’est un homme qui s’engage vraiment dans ses rôles, on ne peut pas lui enlever ça.
Mais voilà, contrairement à ce que l’on pourrait croire, Robert De Niro n’a pas hérité de l’italien comme langue maternelle. Il est vrai que son père était moitié italien, mais il avait également des origines irlandaises. Quant à sa mère, elle était issue d’un melting-pot de nationalités : anglaise, hollandaise, française et allemande. Donc, même si on peut le considérer comme un « Italo-Américain », il n’est pas un « Italo-Américain » à 100% !
Et si on parle de son niveau en italien, il faut avouer que son accent n’est pas toujours parfait. Il a même avoué qu’il trouvait l’osage, une langue amérindienne, plus difficile à apprendre que l’italien. On peut donc dire que son rapport à l’italien est plus une passion, un héritage, qu’une langue maternelle.
Le français, une brève escapade et un souvenir flou
Ah, le français ! Robert De Niro a passé 8 mois à Paris en 1964. Il a même essayé d’apprendre quelques bases à l’Alliance Française, mais il semble que ses cours n’ont pas été très assidus… Un peu comme si on vous demandait de vous souvenir de vos cours d’espagnol du collège, vous voyez ?
Le résultat ? Il comprend un peu, il peut demander son chemin, commander un café… mais tenir une conversation ? Pas vraiment ! C’est un peu comme si vous aviez un vocabulaire de base en français, mais que vous n’avez jamais vraiment plongé dans la grammaire, la conjugaison, etc. On peut dire que son français est au niveau du « bonjour », « merci » et « où sont les toilettes » !
Et puis, il faut avouer que la langue française, c’est un peu comme un roman d’Hugo : complexe, magnifique, mais parfois un peu trop long et compliqué. On comprend pourquoi Robert De Niro a préféré se concentrer sur l’anglais, la langue de son pays d’origine.
Alors, quelle est la vérité ?
Robert De Niro, un polyglotte ? Pas vraiment. Un homme qui maîtrise plusieurs langues ? Pas tout à fait. Mais un acteur qui s’engage pleinement dans ses rôles et qui est prêt à apprendre de nouvelles langues pour les besoins du jeu ? Absolument !
On peut donc conclure que Robert De Niro est un acteur talentueux, un homme charismatique, mais pas un polyglotte. Il a appris l’italien pour un rôle et il a essayé le français, mais son niveau n’est pas celui d’un locuteur natif. Il semble que son cœur reste attaché à sa langue maternelle, l’anglais, et qu’il est heureux de s’exprimer dans cette langue, qui lui a permis de construire une carrière brillante.
En fin de compte, on s’en fiche un peu, n’est-ce pas ? On aime Robert De Niro pour ses talents d’acteur, pour son regard perçant, pour son charisme… et on l’aime aussi pour son côté un peu « casse-cou » et sa volonté d’apprendre de nouvelles choses.
Alors, la prochaine fois que vous regarderez un film de Robert De Niro, pensez à cette petite anecdote linguistique et apprenez à le connaître un peu plus, au-delà de son image d’acteur hollywoodien.