Qui aurait dû jouer Pretty Woman ?
Ah, « Pretty Woman », ce film qui nous a tous fait rêver d’un prince charmant à la Richard Gere et d’une transformation de prostituée en princesse… Un conte de fées moderne, vous me direz ? Oui, mais avec un twist. Car il se murmure que l’histoire aurait pu prendre un tournant complètement différent, et pas forcément pour le mieux.
Imaginez un instant : Molly Ringwald, la reine du cinéma adolescent des années 80, dans le rôle de Vivian Ward. Vous visualisez ça ? Moi non plus, et pourtant, c’est presque arrivé.
Avant que Julia Roberts ne devienne l’incarnation de la « Pretty Woman », Molly Ringwald était la première sur la liste. Imaginez-la, avec ses yeux de biche et son sourire angélique, tentant de séduire Richard Gere. C’est un peu comme si on avait demandé à Elizabeth Taylor de jouer « Grease » : ça ne colle pas, c’est tout.
Mais pourquoi Molly Ringwald a-t-elle refusé ce rôle qui l’aurait propulsée au sommet ?
Eh bien, la réponse est simple : elle n’était pas convaincue par le scénario. Selon ses dires, elle trouvait le personnage de Vivian trop superficiel et le film un peu trop cliché.
Et aujourd’hui, à l’heure où « Pretty Woman » est devenu un classique du cinéma et où Julia Roberts a remporté un Golden Globe pour son interprétation, Molly Ringwald doit bien regretter sa décision.
Imaginez, elle aurait pu partager l’écran avec Richard Gere, être la muse de Garry Marshall et être immortalisée dans une scène de shopping mythique chez Rodeo Drive.
Mais bon, au moins, elle a pu garder son image de star du cinéma adolescent, loin des critiques acerbes qui ont parfois accompagné la carrière de Julia Roberts.
Alors, qui aurait dû jouer « Pretty Woman » ?
Difficile à dire.
Julia Roberts a apporté une énergie et une spontanéité au personnage de Vivian que personne d’autre n’aurait pu égaler.
D’un autre côté, Molly Ringwald aurait peut-être apporté une touche de sophistication et de profondeur au personnage, le rendant plus complexe et moins manichéen.
En fin de compte, c’est un jeu de « what if » qui nous laissera toujours pantois.
Mais une chose est certaine, « Pretty Woman » est un film qui a marqué son époque et qui continue de nous faire rêver.
Et si vous n’avez jamais vu ce film, je vous conseille vivement de le regarder.
Surtout si vous aimez les histoires d’amour improbable, les transformations de princesses et les robes de soirée éblouissantes.
Et si vous n’aimez pas ça, ben, vous êtes un zombie.
Mais le casting de « Pretty Woman » n’est pas le seul à avoir été sujet à des changements de dernière minute.
Saviez-vous que Roland Magdane était censé jouer le rôle de Edward Lewis ? Imaginez-le, avec son accent chantant et son humour décapant, tentant de séduire une prostituée.
C’est un peu comme si on avait demandé à Louis de Funès de jouer « Le Parrain » : c’est un peu bizarre, pas vrai ?
Heureusement, l’équipe du film a su se ressaisir et a choisi Richard Gere pour le rôle.
Et on peut dire qu’il a fait un excellent travail.
Mais imaginez si Roland Magdane avait accepté le rôle ?
Le film aurait été complètement différent, et on ne peut pas dire que ça aurait été une bonne chose.
Le film aurait été certainement déjanté, avec des dialogues improbables et des scènes hilarantes.
Mais il aurait aussi perdu sa dimension romantique et sa touche de conte de fées.
Et on ne sait pas si « Pretty Woman » aurait été aussi culte aujourd’hui.
Alors, merci à l’équipe du film de nous avoir épargné cette catastrophe.
Et merci à Richard Gere d’avoir accepté de jouer dans ce film.
Sans lui, « Pretty Woman » n’aurait jamais été le même.
Et parlons de la musique !
La musique de « Pretty Woman » est tout aussi importante que le casting et le scénario.
L’aria « Dammi tu Forza, O Cielo » de Verdi, extraite de « La Traviata », est le point culminant du film.
Elle représente la transformation de Vivian, son passage de la pauvreté à la richesse, de la prostitution à l’amour.
Et elle nous rappelle que même dans les contes de fées les plus modernes, la musique joue un rôle crucial.
Alors, la prochaine fois que vous regarderez « Pretty Woman », écoutez attentivement la musique.
Vous découvrirez que le film est bien plus qu’une simple comédie romantique.
C’est une oeuvre d’art qui nous touche au plus profond de notre âme.
Et si vous ne pleurez pas à la fin du film, c’est que vous êtes un robot.
Et maintenant, parlons un peu de Julia Roberts.
Elle a beau être une star mondiale, elle a également embrassé la spiritualité hindoue.
En 2010, elle a déclaré qu’elle était hindoue, s’étant convertie pour « une satisfaction spirituelle ».
Elle est une fervente disciple du gourou Neem Karoli Baba (Maharaj-ji).
On peut dire que Julia Roberts est une femme de contrastes.
D’un côté, elle est la star hollywoodienne glamour, symbole de la beauté et du succès.
De l’autre, elle est une âme sensible, recherchant la paix intérieure et la spiritualité.
Et c’est peut-être cette dualité qui fait d’elle une actrice aussi fascinante.
En tout cas, on peut dire que Julia Roberts a su tirer son épingle du jeu.
Elle a su se démarquer dans un monde souvent superficiel et a su imposer son style unique.
Et c’est sans doute grâce à cette dualité qu’elle a réussi à incarner avec autant de justesse le personnage de Vivian Ward.
Alors, la prochaine fois que vous regarderez « Pretty Woman », pensez à Julia Roberts et à son parcours spirituel.
Vous verrez, le film prend une toute autre dimension.
Et vous comprendrez peut-être mieux pourquoi ce film est devenu un classique du cinéma.
Et si vous ne comprenez toujours pas, eh bien, vous êtes un idiot.